À Donald Rumsfeld: une arme de destruction massive. De préférence cachée dans ses bécosses.
À George W. Bush: un pretzel. Un ostie de gros pretzel.
À Paul Martin: un polygraphe.
Aux GI américains en Irak: des véhicules blindés en alliage de titane, des unités tactiques virtuelles, des fusils d'assaut à infrarouge qui tire autour des coins, des "rolling thunder" et tout le reste de la quincaillerie hyper high-tech qui a coûté des milliards à développer et qui semble juste servir à faire des documentaires à Discovery Channel.
À Gary Bettman: la porte.
À Guy Cloutier: un p'tit pouding avec une lame de rasoir dedans.
À George Steinbrenner, propriétaire des Yankees de NY: les 29 autres concessions du baseball majeur; on va arrêter de niaiser, on le sait que c'est ça qu'il a toujours voulu.
Aux citoyens de Washington: le Stade, et les dettes qui viennent avec.
À Raël: un aller-simple vers la planète de ses câlisses d'Élohim.
Aux employés de Microsoft: des Macintosh G5... ah non, c'est vrai, ils en ont déjà.
À Ariel Sharon: une brique provenant du mur de Berlin. Pas nécéssaire de lui garrocher par la tête mais ça serait plus drôle.
Au peuple du Rwanda: un gisement de pétrole.
À Stéphane Gendron, maire de Huntingdon: une paire d'épaulettes et une casquette de général d'opérette.
À Guy A. Lepage: j'allais dire le dernier album de Richard Desjardins, mais j'imagine qu'il va déjà en recevoir des dizaines de copies. Je vais plutôt suggérer la collection complète des vidéos de RBO, pour qu'il puisse se rappeler du temps où il était drôle.
À Marie-Chantal Toupin: un recueil de jokes de blondes.
À Don Cherry: une lobotomie frontale partielle... ah non, c'est vrai il en a déjà eu une. Bon, une complète d'abord.
À Yves Falardeau: son nom sur un aéroport.
À Kevin Sorbo: une copie de Acting for Dummies, une de Directing for Dummies, et une de Astrophysics for Dummies.
À Vladimir Poutine: trois grammes d'anthrax sur une carte postale de Tchétchénie.
À Christian Vanneste: la discographie complète de Dalida.
À Mike Tyson: un cerveau. Ça urge.
Et finalement, à Lorie: un catalogue de Victoria's secret... raawwrrrrr.... (ben oui, je le sais, je suis un vieux pervers. rawwwr quand même)
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